Que faire devant un parent cancéreux : volet nutritionnel

Le cancer, une affection grave qui touche de plus en plus la population mondiale, l’incidence de cette affection ne cesse de accroître devant une incapacité d’agir de la médecine face à ce problème de santé devenu majeur.


Les recherches scientifiques essayent de chercher le traitement efficace applicable à cette affection afin de réduire le taux de mortalité lié au cancer sur toutes ses formes. Malgré les efforts déployés, la médecin est encore handicapé face à un fléau sanitaire menaçant.
Les patients atteints d’un cancer, ainsi que leurs familles ne cessent de chercher un traitement capable d’agir sur la maladie et guérir la personne souffrante. Ce grain d’espoir  donne au malade le courage d’affronter sa maladie malgré ces effets invalidants.
Dans tous les cas, il s'agit de suivre le patient cancéreux au cours de sa maladie dans une démarche à visée curative, ce qui va agir sur le psychisme du malade de façon positive et entraînant pas une perte d’espoir inutile à ce stade.


L’alimentation du patient est un élément essentiel, le maintient d’un équilibre nutritionnel et riche en vitamine E qui a la propriété anticancéreuse. L’équilibre nutritionnel  va Rythmer ses journées par la prise d’un jus de fruits et de légumes par heure (carottes, pommes et légumes à feuilles vertes), d’origine biologique (pour ne plus faire rentrer de toxines dans votre corps) ce qui amènera une incroyable quantité d’oxygène, de vitamines, de minéraux et d’enzymes à votre organisme. Toutes les cellules seront nourries aussi intensément que possible, ce qui renforcera votre système immunitaire et votre santé générale. Ici on parle d’un verre de jus toutes les heures, c’est donc une thérapie intensive et très concentrée.
Trois repas végétariens par jour avec de la salade, des légumes légèrement cuits, une soupe et des céréales complètes.
Des encas disponibles à tout moment de la journée : des fruits frais d’origine biologique.
Eviter graisses et protéines d’origine animale qui sont acidifiantes pour le corps : vous allez donc passer à un régime principalement végétarien. Pour les graisses végétales les plus intéressantes, la thérapie Gerson mise beaucoup sur l’huile de lin. Cette huile est la plus concentrée en acides gras polyinsaturés (Oméga 3) essentiels à notre organisme. Attention : c’est une huile qui ne se chauffe pas et se consomme crue en assaisonnement.
Restaurer l’équilibre sodium (sel)/potassium. Cet équilibre est actuellement largement inéquitable : nos besoins en sel sont excessivement couverts par notre alimentation alors que nos besoins en potassium ne le sont pas. Ces deux éléments sont des minéraux qui doivent être proportionnels pour que nos cellules soient en bonne santé. Le sodium (sel) est l’ion majoritaire dans le liquide extracellulaire et le potassium est l’ion majoritaire dans le liquide intracellulaire. Une grande partie de notre énergie passe dans la régulation des taux ces deux minéraux par notre corps. En les lui apportant de manière équilibrée, cette énergie peut être utilisée ailleurs (comme pour combattre la maladie !). Les aliments les plus concentrés en potassium sont : les haricots blancs, épinards, pommes de terre, les bananes, les avocats, les abricots secs ou encore les dattes.

Des suppléments alimentaires en potassium, en Vitamine B-12 et en enzymes pancréatiques. Pourquoi la Vitamine B-12 ? Car sa présence est essentielle à la croissance, à la division cellulaire et au fonctionnement de toutes les cellules du corps : le point faible des cellules cancéreuses !
Éliminer autant que possible les aliments dégradés par le raffinage (les pâtes, sucre, riz et pain blanc) et par la conservation (les boîtes de surgelés, les aliments déshydratés et transformées, avec des additifs, etc.) qui sont nutritionnellement très pauvres et qui empêchent au corps de se nourrir et de guérir.
1 à 2 lavements au café (hydrothérapie) par jour ! Afin d’augmenter notre capacité d’élimination des toxines et des résidus issus de la chimiothérapie. Lorsqu’une personne est atteinte d’un cancer des organes internes, il y a déjà une surproduction de toxines, d’éléments de décomposition des tumeurs et des molécules que la chimiothérapie laisse derrière elle, qui surchargent le foie. Si le foie est incapable de se débarrasser des toxines, la guérison est inenvisageable. C’est le rôle des lavements que de faciliter cette détoxification

Dans un autre article, nous allons aborder le volet psychologique dans le traitement anticancéreux et l’assistance familiale.

L’éjaculation précoce, comment contrôler ?

L’éjaculation précoce, appelée aussi éjaculation prématurée,  est un trouble de l’éjaculation survenant lors de stimulations sexuelles minimes, elle peut être avant, pendant, ou juste après la pénétration, et avant que l’homme ne souhaite éjaculer. 

Pour que l’homme soit diagnostiquer comme étant un éjaculateur précoce, il faut que l’éjaculation soit caractérisé par  la  survient trop vite dans le temps (même si  La notion de temps est nécessairement subjective car tout le monde n’a pas les mêmes attentes concernant le délai avant éjaculation), la  non maitrise du moment de son éjaculation qui survient à un moment qu’il ne  souhaite, et la détresse personnelle qu’elle provoque ainsi que des problèmes relationnels au sein du couple.

De parler d’éjaculation précoce, l’homme se sent intimidé, mais aussi toucher profondément dans son psychisme qui devient souffrant, voir même déprimé.
La consultation d’un sexologue reste encore un tabou pour la plus part des hommes par peur du regard d’autrui, pour ce fait nous présentons certaines conseils pour les éjaculateurs prématurées afin de réduire ou de supprimé le trouble et avoir une vie sexuelle normale.
Il faut savoir que l’éjaculation précoce n’est pas une maladie, c’est juste un mauvais apprentissage des habitudes sexuelles prises.
La première chose que l’éjaculateur précoce doit savoir, c’est qu’il ne contrôle pas son éjaculation. Ce fait est lié au non contrôle des émotions et du désire sexuel qu’il ressent, comme conséquence ceci va se projeter vers le temps (qui reste subjective vue qu’il y a différence de temps d’éjaculation entre un homme et un autre). Tous ces éléments vont affecter  sa satisfaction et celle de son partenaire.
Les éléments suivants vont permettre à l’homme de mieux contrôler  son éjaculation :
-          S’arrêter, de respirer, de prendre une pause quand on sent que l’excitation est devenue très intense, et ne pas attendre que l’éjaculation survient parce que c’est trop tard pour qu’elle puisse être contrôlée.
-          Ne pas attendre plusieurs jours ou plusieurs semaines sans éjaculation.
-          Prendre son temps dans les préliminaires pour habituer le corps à l’excitation sexuelle.
-          Choisir le bon moment de la pénétration, ne pas pénétrer en étant trop excité pour ne pas venir trop vite
-          Une fois pénétrer, il faut prendre le temps de respirer calmement du ventre et de laisser redescendre l’excitation trop intense.
-          Ne pas vouloir  avoir l’orgasme sexuel trop vite avec le partenaire, vue que la femme à besoin plus de temps pour arriver à l’orgasme.
L’éjaculation est un réflexe physiologique à l’excitation, le désire sexuel et la pénétration vaginale, alors, le premier principe, qui est essentiel dans le processus de guérison, est le contrôle des émotions, une fois que l’homme maitrise ce contrôle de ses émotions, il peut à ce moment se permettre certaines fantaisies.

Les étudiants en médecine dopés aux psychostimulants

Un tiers des étudiants en médecine et des jeunes diplômés disent avoir pris des psychostimulants au cours de leur vie, notamment dans le but d’obtenir de meilleurs résultats au concours de première année, selon une étude. Parmi eux, 5,2% avouent avoir consommé des drogues telles que la cocaïne ou l’ecstasy.
Les étudiants en médecine ne se contentent pas tous de café ou de vitamine C pour rester concentrés avant les examens. Au total, un tiers d’entre eux disent avoir déjà pris d’autres psychostimulants dans leur vie, selon une enquête française en cours de publication, relayée lundi par Le Monde.
Guronsan, médicaments détournés, cocaïne...

Celle-ci a été menée par six médecins - dont les psychiatres et chercheurs Guillaume Fond et Philippe Domenech du groupe hospitalier Henri-Mondor à Créteil - auprès d’un échantillon représentatif de 1700 personnes, étudiants en médecine ou jeunes diplômés. Dans le détail, 30% des participants déclarent avoir déjà consommé des produits en vente libre, comme du Guronsan (médicament mêlant vitamine C et caféine) ou des boissons énergisantes.
Mais ce n’est pas tout: 6,7% indiquent avoir eu recours à des médicaments sur ordonnance, souvent détournés de l’usage pour lequel ils sont commercialisés. Pour la plupart, les consommateurs sont des médecins ayant validé leur internat, donc habilités à prescrire des médicaments. Pour 1,5% d’entre eux, il s’agit de Ritaline et pour 0,7% de Modafinil (deux médicaments - commercialisés l'un pour traiter l’hyperactivité (TDAH) chez les enfants de six ans et plus, le second pour traiter la narcolepsie - où est présente la molécule de méthylphénidate, proche des amphétamines) et pour 4,5% de corticoïdes (des médicaments prescrits dans le cadre de nombreuses pathologies pour leurs effets anti-inflammatoires ou immunosuppresseurs).
Enfin, 5,2% avouent avoir pris des psychostimulants illicites, des drogues comme la cocaïne ou l’ecstasy.
Consommation influencée "par les rythmes académiques"
Dans tous les cas, l’idée de cette "neuro-optimisation" (traduction du terme anglais "neuroenhancement" décrivant la consommation de psychostimulants sur les campus américains) est d’augmenter son niveau de vigilance, dans le but d’obtenir in fine de meilleurs résultats académiques.

Deux périodes sont ainsi particulièrement propices à l’usage de psychostimulants, selon les chercheurs: l’année précédant le concours de première année, ultra-sélectif (chaque année, plus de 85 % des étudiants ne parviennent à passer en deuxième année) ou avant l’examen classant national de sixième année. "Notre étude suggère que les comportements de consommation de psychostimulants sont très fortement influencés par les rythmes académiques des études médicales, et notamment les deux grands examens, en première et en sixième année. Le type de psychostimulant dépend, lui, de l’accessibilité au produit", expliquent les auteurs.

Cependant, ces pratiques ne sont bien entendu pas dénuées de risques. Ainsi, les étudiants qui consomment des produits en vente libre "ont un risque multiplié par deux de consommer d’autres psychostimulants", prévient Guillaume Fond. Et si, comme le souligne Le Monde, le méthylphenidate est inscrit sur la liste des stupéfiants, les corticoïdes peuvent eux "avoir des effets délétères sur la santé, même à court terme", avertit Martine Gavaret, neurologue au CHU de Marseille et coauteure de l'enquête. Quant aux risques liés à la consommation de stupéfiants, tels que la cocaïne ou l’ecstasy, ils sont bien connus des étudiants en médecine (anxiété, troubles cardiaques, dépendance, overdose… mais aussi perturbation des capacités d’apprentissage et de mémoire).

comment connaitre le plaisir sexuel

Chaque être humain concours pour connaitre le plaisir sexuel. Les hommes au tant que femmes cherchent à mieux connaitre le moteur de la création du plaisir et comment peut on aller jusqu’à la jouissance d’un orgasme. Les questions les plus fréquentes relevant de l’intimité sont un peu difficiles à poser à l’environ, et ils sont soient techniques, soit relationnelles et émotionnelles.
Le coté technique :
Il est certes que le plaisir sexuel est une émotion, mais il reste aussi un e technique et un savoir faire corporel. Pour que le plaisir soit simple, naturel, il est agréable de bien connaître son propre corps et son fonctionnement et pour le faire vibrer au mieux.


Pour savoir que la femme a un orgasme, il se manifeste par une sensation de tension très forte qui baisse brutalement. Elle s’accompagne de contractions involontaires rythmiques des muscles du vagin et d’une sensation de plaisir. les contractions sont entre 3 et 12 contractions vaginales. Plus l’excitation de départ est puissante, plus nombreuses sont ces contractions. Les premières sont fortes et rapprochées puis elles diminuent d’intensité et s’espacent.
Le plaisir sexuel de l’orgasme est toujours vaginal, car un orgasme, qu’il soit vaginal ou clitoridien se manifeste toujours au niveau du vagin par des contractions rythmiques

La position peut déterminer la qualité de jouissance, cela dépend de ce que le corps a vécu comme expériences de plaisir. Il est possible qu’il expérimente, au fil du temps d’autres manière d’y arriver, d’autres positions le menant à l’orgasme. Souvent, on constate que la position la plus commanditaire de plaisir, est l’amazone : l’homme est allongé sur le dos, et sa partenaire assise sur lui. Elle permet à la femme de contrôler qui inclinaison, les mouvements, le rythme, la profondeur. Elle peut alors choisir ce qui lui procure à elle le plus de sensations. Mais il faut qu’elle se sente parfaitement à l’aise. D’autres positions sont excitantes car elles sont mentalement plus érotiques.
Le coté relation-émotion.
Le plaisir sexuel se pratique idéalement à deux. La relation à l’autre, les émotions ressenties influencent donc fortement la qualité du plaisir.
Généralement un homme atteint son plaisir plus vite que la femme, c’est ça nature, mais il faut savoir que plus son plaisir est rapide et plus il est superficiel. Par-contre Le plaisir féminin est généralement plus profond, mais plus lent à venir. C’est ainsi que l’homme il doit apprendre à prendre tout son temps pour avoir un plaisir profond.
Souvent, quand on commence sa vie sexuelle, on peut être déçue par le plaisir ressenti, car le plaisir se découvre, se développe au fil des expériences. L’essentiel est d’apprendre à cultiver le plaisir que l’on ressent pour petit à petit le laisser prendre de l’ampleur.

Beaucoup de gens pensent que le fantasme n’est pas un fait naturel, c’est faut. Fantasmer est parfaitement normal. Le fantasme le plus répandu est d’ailleurs tout simplement l’anticipation érotique : imaginer ce que vous pourrez faire avec votre partenaire, les baisers, les caresses que vous pourrez échanger. Si vous sentez le besoin de fantasmer, l’idéal est de faire appel à des choses que vous avez déjà faites ensemble ou que vous avez envie de faire avec lui ou elle… Comme ça, vos fantasmes vous rapprochent l’un de l’autre.
Une autre chose qui tracasse les jeunes couples aujourd’hui, c’est le fait de ne pas avoir d’orgasme simultanément, ou bien qu’ils ont l’impression de ne pas donné bien plus de plaisir. Seulement un tiers des couples a de temps à autre l’orgasme ensemble, au même moment. C’est fort agréable, mais ce n’est pas un but en soi. Tous les sexologues pensent que l’on apprécie bien plus l’orgasme chacun son tour, parce que vous pouvez alors vraiment profiter du plaisir de l’autre quand il atteint le septième ciel. Alors que si vous y êtes au même moment, vous pouvez être chacun dans votre monde en parallèle.
Beaucoup de femmes ou d’hommes émerveillés par le plaisir amoureux, ils pensent que ce n’est pas possible que pour l’autre, ça soit aussi bon. Et pourtant c’est le cas. Si vous ressentez énormément de plaisir, c’est très certainement parce que lui aussi ressent la même chose. Ne croyez pas que vous ayez grand chose à faire. Le mieux, c’est de lui exprimer tout le bonheur que vous. C’est le plus beau des cadeaux, celui qui lui procurera peut-être le plus de plaisir.

Le glutamate, une drogue alimentaire présente dans nos cuisines





Les cubes de saveurs, fortement utilisé dans la préparation des repas dans nos maison, des poisons quand ingère volontairement sans avoir le moindre souci des conséquences qu'ils peuvent avoir sur notre santé. C'est une catastrophe ces rehausseurs de goût pour les plats qui en manquent: elles en mettent partout. Même en poudre sur leur tartine de mayonnaise du matin! Si elles savaient comment sont fabriquées ces mixtures, elles seraient dégoûtées à tout jamais
De nombreuses études ont montré que ces cubes se compose d'intestins de poulets et ses ongles, des os et des restes de viande de volaille, et contient du glutamate mono-sodique dévastateur pour les cellules du cerveau de l'enfant, ainsi que des impacts dévastateur sur le foie, les reins et d'autres maladies dévastatrices qui pointent le cancer dans une certaine mesure sur le long terme.
Le glutamate est un acide aminé naturellement présent dans le corps. Sa « version chimique » a été découverte en 1907, pour en faire un additif alimentaire. se cache sous le nom de code E 621 et est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche renforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau. Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau.
Introduit dans l’alimentation américaine il y a plus ou moins 50 ans (en droite ligne venu du Japon où il venait d’être commercialisé), le glutamate est apparu en doses de plus en plus grandes dans les repas préparés, les potages, les collations et la restauration rapide, tous ces auxiliaires de la vie trépidente et surchargée que nous menons dans notre société post-industrielle et de consommation de plus en plus active.
L’E621 est l’un des additifs alimentaires les plus utilisés dans le monde, avec une production atteignant chaque année les 2 millions de tonnes, dont 80 % sont consommés en Asie mais tout de même 95 000 tonnes en Europe.

D’abord, on sait, dans le monde de la recherche scientifique, que le glutamate monosodique, administré à des rats à leur naissance, les rend systématiquement obèses et a pour effet de tripler la quantité d’insuline que secrète leur pancréas…  Une découverte très utile pour les scientifiques qui se penchent sur les tests d’études portant sur les régimes amaigrissants ou sur le diabète.