Pour intégrer le monde de la médecine, et dire que la psychiatrie est
une science proprement dite, il fallait appuyer les théories sur lesquelles
elle a été fondée au début.
Durant notre vie, il y a toujours des hauts et des bas. Le changement
d'humeur et de comportement influence notre pensée, qui peut être affecté à un
point qu'on peut considérer un tel ou tel comportement comme étant
pathologique. Mais la limite entre le normal et le pathologique en psychiatrie
est superflue, et encore incompréhensif.
D'une société à une autre, il y a une énorme différence de culture, de
tradition et de mœurs. Un comportement normale dans une société peut être
considéré comme pathologique dans une autre, ce qui fait que la
classification des maladies et la classification universelle des troubles
psychiatriques est totalement fausse.
De nos jours, le domaine de la psychiatrie a évolué, et la
classification des trouves a aussi évolué en parallèle. Des étiquettes de
maladies mentales peuvent être mit dans toutes les aspects de la vie, ce
qui transforme des comportements humains
normaux à des phénomènes pathologiques nécessitant la prise de traitement de
longue durée.
L'histoire de la classification des maladies mentales a évolué
avec événement du DSM, le manuel diagnostiques et statistiques des troubles
mentaux, qui englobe de nombreux pathologie, la schizophrénie et trouble
schizophrénique, l’anxiété, le bégaiement, trouble de l'enfance, addiction ...
et aussi des troubles psychiatriques non spécifiques (ça veut dire
quoi?).
Tout c'est troubles sont présentés comme étant des maladies liées à un
dysfonctionnement du cerveau, alors qu'aucune recherche scientifique ne la
confirmé.
Dans ce manuel, tous les troubles liés à la vie sont présentés comme
des troubles liés au cerveau, qui doivent être traité par des
psychotropes.
Le DSM a été crée par des comités d'hommes et de femmes, qui vote,
sur les phénomènes qu'on peut intégrer dans les troubles psychiatriques, selon
leurs opinion politiques, et leurs rapports avec les sociétés d'industries
pharmaceutiques.
La classification des troubles a été fortement critiquée par les
psychiatries, dans une des conférences de l'association américaine de
psychiatrie. Plusieurs psychiatries avouent que le DSM n'a pas de base
scientifique justifiant les troubles qu'il classifie, d'autres disent qu'avec
cette classification, on peut donner plus de vingt diagnostiques différents
pour un seul patient. "Le DSM est une imposture" dit Dr ANNA
LAW, directrice du service des urgences dans un hôpital en Amérique, elle le
compare avec un château de carte. Elle justifie ses paroles "les
diagnostiques ne sont que des théories, ils n'ont pas de base
scientifique".
Robert Spillane, professeur en psychologie, dit que le DSM est
fragile, et il suffit d'un examen minutieux pour qu'il s'écroule et lui retirer
sa légitimité.
Histoire du DSM
La classification moderne des troubles psychiatriques date du XIX éme
siécles (les années 1890). Les concepts actuels sont de cette époque, le rôle
clé fut celui d’Emil Kraieplein, il était le premier a classé les maladies
psychiatriques qu’il pensait être d’origine du cerveau.
- - La démence précoce (la
schizophrénie)
- - Le trouble
maniaco-dépressif
- - La psychose paranoïaque
Tous des concepts encore présent dans le DSM. Le système d’Emil
Kraieplein est devenu très populaire, surtout en Angleterre et aux USA. En 1950,
le premier manuel diagnostic et statistique de trouble mentaux fut assemblé. C’était
un catalogue de maladies mentales, qui englobait des signes médicaux qui n’ont
jamais été découvert. Le DSM I comportait 112 troubles mentaux rassemblait en
130 pages. Plus de maladies pour un but lucratif favorisant le bénéfice de l’industrie
pharmaceutique.
Le DSM I englobe des phénomènes normaux décrit étant pathologiques
pour que le patient prenne un traitement pour se soigner de maladies telles que :
- - Retenir sa respiration
- - Se ronger les ongles
- - Sucer son pouce
- - Etre somnambule
- -Manquer d’efficacité
La deuxième version fut publiée en 1960 avec 178 troubles, et pour avoir une portée
internationale, le DSM II fut aligné dans la classification internationale des
maladies (CIM). C’est le début de l’acceptation de la psychiatrie dans la médecine
moderne.
Le DSM II lui aussi n’a as de base scientifique, il est fondé sur les
théories cliniques de Sigmund Freud. Il énumère les troubles sans parler de
leurs causes, ni de vouloir la rechercher. Dans le DSM II « l’inclusion d’un
trouble dans la classification n’importe pas que l’on connaisse son étiologie ».
C’est-à-dire que la cause n’est pas utile pour faire un diagnostic, mais la
question qui se pose, est comment peut-on donner un traitement pour guérir une
maladie qu’on ne sait pas son origine?
Jeffrey
Schaler, professeur de psychologie, a clairement dit que les maladies dans le
DSM n’ont pas été découvertes, mais elles sont
inventées.
Pour intégrer
le DSM, les troubles sont inclus et exclus par vote d’une commission de
psychiatres et de psychologues. C’est loin d’être une science basé sur des
fondements solides. Dr Robert Spitzer, éditeur en chef du DSM III publiée en
1980 a essayé de donné des justifications pour rendre le DSM plus crédible. Ainsi
les bases du DSM III ne sont plus les théories cliniques freudienne, mais le
diagnostique psychiatrique serait purement biologique.
Le Dr David
Shaffer, un membre de l’association américaine de psychiatrie (APA) a décrit le
mode d’inclusion et d’exclusion des troubles dans le DSM « ils s’entassaient
d’une pièce bien trop petite, et BOB soulevait une question provocatrice, et
les gens criaient leur opinion de tous les cotés de la pièce. Et celui qui
criait le plus fort était écouté. Ça me donnait plus l’impression d’une vente
de tabac aux enchères que d’une conférence ».
Renee
Garkinkel, psychologue et aussi membre de l’APA à décrit elle aussi le
déroulement du vote « le manque d’effort intellectuel était choquant,
on statuait sur des diagnostiques par vote comme on choisirait un restaurant,
et c’était saisi sur ordinateur. Naïvement, on avait cru qu’il essaieraient d’examiner
le sujet de façon scientifiques ».
Le nombre de
trouble est augmenté à 259 troubles. Le DSM III lança la médicalisation
progressive de la psychiatrie avec l’entrée de la notion du déséquilibre
chimique. Une théorie qui était inventée et s’est répondue partout dans le
monde. Une théorie de Joseph Schildkraut, lançait en 1965, qui prétend que le
trouble psychique est dû à un déséquilibre chimique dans le cerveau, alors qu’aucune
preuve scientifiquement tangible n’a été révélée. Depuis, cette théorie a
envahi le monde de la psychiatrie donnant l’opportunité d’une médication
automatique de tout être humain présentant un trouble inclus dans le DSM. Alors comment peut on dire à une personne qu'elle a un déséquilibre dans chimique dans son cerveau sans avoir fait aucun teste le confirmant, c'est juste un mythe.
Le DSM est
incapable de définir la maladie mentale, et ceci on le note dans un paragraphe
qui dit que « Bien que ce manuel fournisse une classification de trouble
mentaux, on doit admettre qu’il n’y a pas de définition délimitant le
concept avec précision ».
Dr Allen Frances, le président du groupe de
travail du DSM IV publié en 1994, a dit qu’ « il n’ y a pas de définition
du trouble mentale ». alors comment peut-on juger une personne qu'elle est malade sans lui présenté la réponse juste de la nature de sa maladie. Si un médecin découvre chez un patient un diabéte ou une hypertension artériel, il lui explique le pourquoi du comment, mais le psychiatre et la litérrature psychiatrie, surtout du DSM est incapable de donner une explication scientifique
sur la maladie mentale. Et si la psychiatrie est incapable même de donner une définition aux troubles mentaux, comment peut elle guérir quelque chose qu'elle ignore.
Le DSM IV
avait augmenté le nombre des troubles mentaux pour arrivé jusqu’à 374
troubles. Ce manuel a servit au diagnostique de 120 millions de personnes partout
dans le monde, et il a contribué à leurs médication sans avoir un fondement scientifique.
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