L’affection bipolaire, une conséquence d’une société malade


 Etre bipolaire dans nos sociétés modernes, signifie une double souffrance pour la personne affecté, une souffrance à cause de la maladie, et un autre souffrance du regard social.
Le bipolaire, est  un être humain digne d’une vie meilleur que celle qu’il mène, reste septique concernant l’image de la société. Les situations vécus par un bipolaire, sont totalement différentes de celles vécus par le reste de la société. L’alternance entre la joie et la tristesse sont les caractéristiques du bipolaire.  Ces traits de personnalité sont senti comme un handicape pour le bipolaire dans ça relation avec la société, ce qui le pousse à s’isoler et a renforcer le soi-estime de soi qui peut être fatale pour lui. Malgré que c’est la société qui la rejeter, le bipolaire se sent victime de sa maladie, et ne cesse de souffrir et se culpabilisé.   Le paradoxe, c’est que le bipolaire est un membre constructeurs de la société, alors comment peut-on rejeter un membre constructeurs juste  parce qu’il est souffrant ? N’est ce pas le rôle de la société pour l’aider et le protéger ? notre société, n’est telle pas malade ?.
Certes, La vie est pleine de joie, mais aussi pleine de tristesse, l’essentielle est de maîtriser l’alternance affective entre la joie et la tristesse. Certaines personnes ont du mal à maitriser cette alternance joie/tristesse, ce qui leurs provoque des problèmes sociaux diverses. Ces problèmes, seront à l’origine de l’aggravation du trouble. Présumé aider et protéger les citoyens, la société moderne ne fait que rejeter toutes personnes qui  ne font pas parti de son prototype.

Donnant par exemple : La société est le corps humain composé de cellules (citoyens), et le noyau de ces cellules est la famille. Le cerveau (gouvernement, président, roi…) dirige notre corps et répond à nos besoins. Si une partie de nous est malade, tous le corps se regroupent pour rétablir le trouble (soit par la fièvre, soit par frisson…). Ce qui est a retenir, c’est que si un membre de la société est malade, toute la société doit être déployé pou le faire sortir de sa souffrance, parce que c’est une partie d’eux qui est toucher. Mais la question qui se pose, est ce que notre corps sent notre souffrance ? Est ce qu’il est prés pour nous aider ?
Notre société moderne, est devenue le véritable poison pou l’humanité. Nous vivons dans un monde matériel, plein de typologie, un monde préjudice et raciste qui juge les gens d’après leurs apparences. Malgré Le progrès scientifique, et malgré la modernisation sociale qui nous est imposé, la société moderne a perdu le sens de l’humanisation des relations entre citoyens eux même, et leurs relations avec l’humanité.
Dans un monde capitaliste, le dollar a changé notre perception sur les relations humaines, et l’Homme est devenu juste un utile  pour la réalisation de nos rêves, ou plutôt la réalisation du rêve américain importer depuis les Etats Unis d’Amérique. Un rêve fait sur mesure pour satisfaire l’opportunisme humanitaire dans le but de déraciner la race humaine des principes fondateurs de la société comme étant un groupement de personne solidaire, quelque soit le lien qui les relies religieux ou géographique ou ethnique…et aussi pour anéantir les relations humaines dans une société.

L’émergence de la société moderne, qui est la société de consommations, est basée sur la théorie du capitalisme qui rend  les relations sociales basées sur le  matériel, entre les membres de la société eux-mêmes et en vers d’autres sociétés. Le narcissisme humain s’alimente bien par les poisons qu’on ne cesse d’avoir, soit par film, soit par publicité, on a tous notre dose de poison, ce qui se reflète sur la personnalité qui devient une personnalité narcissique avec de nouveaux principes sociaux basées sur l’opportunisme et le narcissisme. Des principes de typologies, et toute divergence au prototype est considéré comme étranger pour la société. Une exclusion inconsciente, et raciste d’une parti du groupe, ce qui retentira négativement, sur l’ensemble de la société et non pas sur les exclus seulement.
Notre société moderne ne fait qu’augmenter les statistiques concernant la maladie mentale. Du bipolaire, à la schizophrénie en passant par l’anorexie mentale et l’anxiété avec ou sans attaque de panique, sont les conséquences directes de la société de consommations. Malgré que certains troubles existent depuis des décennies, d’autres ont été alimentés par notre société.

Le poison de la société moderne à anéanti le rôle de la famille, qui reste le noyau de la société. Le système capitaliste, qui a emprisonné les parents dans les bureaux et les usines. Etant  une nouvelle version de l’esclavagisme, le capitalisme avait besoin de détruire les relations familiales et en détruisant avec, tous les principes de solidarité et d’aide réciproque. La destruction des principes sociales et culturelles d’un groupe ont pour conséquence la perte de l’identité sociale de l’individu, ce qui peut être l’origine d’une dépersonnalisation de l’Homme.

Notre société devient de plus en plus malade, mais le problème c’est qu’on ne fait pas attention à plusieurs signaux d’alarmes qui ne cesse de sonné leur cloche pour un rétablissement et réorganisation de la société et la réinsertion des principes fondateurs de la société. Notre société ne se rend pas compte de la gravité de la situation et n’est pas protéger contre tout collapsus social qui peut être dangereux et fatal.

Sachant bien que toute affection mentale surgit de nulle part, et n’a pas de cause bien précise et quelle touche toutes les classes sociales, tout membre de la société est potentiellement susceptible de développer une maladie mentale. Ce fait, doit être la base de l’éducation de la société pour renforcer la solidarité sociale avec les personnes souffrantes de malades mentales, ce qui favorise la prise en charge et la réinsertion sociale de ses personnes.
Le renforcement du rôle de la famille va être l’arme principale contre la marginalité que subit tout patient. Un rôle qui est essentielle dans le processus de réhabilitation de nos sociétés qui va être basé sur les principes du  respect, de la solidarité et l’acceptation de l’autre malgré sa différence.
Le retour à ces principes, n’est pas un  retour vers  l’âge de pierre ou le moyen âge, mais le retour vers nos principes culturelles qui représentent notre identité et les adapter à notre mode de vie.
Nous sommes la solution de nos problèmes, et nous sommes aussi la cause, juste un moment de réflexion rationnelle peut guider l’humanité vers un avenir plus meilleurs que le présent amer.

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