6 aliments que les diabétiques doivent consommer

Dans la prévention et le traitement du diabète, l’alimentation occupe une place centrale. Les effets avantageux d'une alimentation équilibrée sur la santé et le diabète (glycémie et équilibre glycémique) sont scientifiquement démontrés. Pour les diabétiques, manger équilibré est bénéfique et nécessaire. Nous mangeons de plus en plus vite, des plats de plus en plus préparés, en oubliant que c'est l'alimentation qui nous apporte de l’énergie et nous maintient en vie.


L’alimentation doit permettre de saturer les besoins nutritionnels, de contrôler le taux de glycémie et de lipides sanguins en plus d’inciter la tenue du poids santé et de prévenir les maladies cardiovasculaires.

Parmi les aliments qui les diabétiques peuvent consommer, et qu’ils auront un effet positif sur leurs diabètes :
1)    La poire présente de multiples composés phénoliques, dont des flavonoïdes, garants de la couleur du fruit, et des acides phénoliques. Présentes essentiellement dans la pelure du fruit, ces composantes consentent de neutraliser les radicaux libres, grâce à leur effet antioxydant. Les composés phénoliques participeraient or à la prévention des maladies cardiovasculaires et de certains cancers. La haute composition en fibres alimentaires de la poire aiderait pareillement à la diminution des risques de dysfonctionnement  cardiaques ainsi qu'à la régularisation du transit intestinal. Les fibres solubles contenues dans la poire retardent l’absorption du glucose dans l’intestin grêle, permettant autant un meilleur contrôle de la glycémie.
2)    L’avocat est un bon choix alimentaire puisqu’il est solidement antioxydant. En cas de diabète, il est important de consommer des aliments avec une forte faculté antioxydant puisque cette maladie favorise l’activité des  radicaux libres responsables de l'oxydation de l'organisme. Ce qui peuvent entraîner une réaction entre le glucose excédentaire et les protéines corporelles qui est l’un des facteurs de vieillissement précipité des tissus. Une étude a démontré que l’avocat a un réel impact sur la diminution des lipides sanguins. Cela permet de prévenir les risques de maladies cardiovasculaires qui sont de 2 à 3 fois plus élevés chez une personne diabétique.
3)    L’orge est un produit céréalier à grains entiers très nutritif, riche en fibres solubles et en vitamine E. Cette céréale constitue un antioxydant qui permet de lutter contre les préjudices causés par les radicaux libres. La vitamine E incite la prévention des risques de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies attachées au vieillissement.


4)    Le saumon est un poisson gras dont l’impact sur la diminution des risques de maladies cardiovasculaires, c’est une Excellente source d’oméga-3. Le saumon réduire la tension artérielle, les triglycérides sanguins et la formation de caillots de sang. Le saumon est également une excellente source de protéines complètes. Il est conseillé d’intégrer la protéine de poisson à son alimentation puisque celle-ci serait favorable à l’amélioration de la sensibilité à l’insuline.
5)    Le brocoli est un Légume de la famille des crucifères, à consommer cru ou légèrement cuit, il renferme beaucoup de vitamine C dont les propriétés préventives sur certains cancers ont été démontrées. Deux de ses composantes, la lutéine et de la zéaxanthine, ont des propriétés antioxydantes qui luttent également contre les troubles cardiovasculaires.
6)      La patate douce présente une teneur élevée en antioxydants, surtout grâce aux anthocyanines et aux caroténoïdes qu’elle renferme. La patate douce de couleur pourpre serait principalement riche en anthocyanines, d’où sa coloration. Cette composante permet de réduire l’oxydation du «mauvais» cholestérol, et de prévenir les risques de maladies cardiovasculaires. La patate douce aurait pour effet de diminuer la résistance à l’insuline, ce qui favoriserait le contrôle de la glycémie.

Le citron, un élément naturel essentielle pour la vie

Le monde moderne nous fait éloigner de nos traditions et de nos remèdes ancestraux. Le retour en arrière est devenu une nécessité pour le maintient de l’équilibre de notre corps et assurera des résultats plus que satisfaisants. Nous vous présenterons dans cet article les bienfaits du citron sur notre corps ce qui va vous permettre de prévenir les dommages que vous percevrez chez vos parents et vos grands parents lorsqu’ils indolent leur santé.


Le citron a plusieurs effets sur notre corps, parmi ces effets :
-       Facilite la digestion : Le citron, est un élément naturel qui peut faciliter notre digestion, Le citron améliore la digestion en renforçant la production de salive qui prépare les aliments à être décomposé par les sucs digestifs à leur arrivée dans l’estomac. À cette étape, l’agrume continue à agir en motivant la production des sucs digestifs. Par ailleurs, sa fortune en fibres favorise le mouvement du transit et aide à se percevoir plus léger après un repas copieux.

-       Prévient le cancer : L’éradication de toutes les toxines et les graisses supplémentaires dans votre corps et il favorise abolition des tumeurs nouvellement apparues et une circulation sanguine plus que parfaite. Le citron Corrige les cellules mortes et rajeuni les plus vielles cellules grâce au citron et à sa propriété antioxydante.
-       Un purifiant pour le corps : Sa forte composition en potassium rend le citron diurétique, c’est pourquoi on lui attribue des propriétés détoxifiantes et purifiantes.
-       Le citron est un antiseptiques : Le citron contient des substances antiseptiques parmi lesquelles des acides organiques. Son jus est capable d’éliminer microbes et champignons par simple contact. Il peut ainsi servir de désinfectant de fortune en cas de petites blessures. En médecine traditionnelle, on l’utilise aussi pour soigner les maux de gorge ou les infections buccales et gingivales.
-       Pour le foie : il rétabli le cholestérol, Un bon cholestérol continuellement observable dans votre corps avec réduction du taux des triglycérides dans votre sang.  Le foie se sent encore plus jeune qu’avant 
-       Un régime revitalisant : on buvant le jus de citron chaque matin à jeun, il consolidera votre système immunitaire, reminéralisera votre organisme, éliminera l’excès d’acidité et purifiera vos tissus en profondeur. Après une semaine de traitement, vous vous sentirez revitalisée et votre teint sera plus lumineux.

-       Un purifiant pour le corps : Etre à même de combattre la rétention de l’eau grâce à une amélioration des reins et leur fonctionnement.
-       Régulation de la tension artérielle Renforcement du bouclier immunitaire et durcissement des défenses du corps

En dépit de sa saveur acidulée, le citron a une action alcalinisante, c’est-à-dire qu’il neutralise l‘excès d‘acidité apporté par les aliments et pouvant être fatal à la santé des os. Il est aussi riche en calcium, magnésium et phosphore.

L’affection bipolaire, une conséquence d’une société malade


 Etre bipolaire dans nos sociétés modernes, signifie une double souffrance pour la personne affecté, une souffrance à cause de la maladie, et un autre souffrance du regard social.
Le bipolaire, est  un être humain digne d’une vie meilleur que celle qu’il mène, reste septique concernant l’image de la société. Les situations vécus par un bipolaire, sont totalement différentes de celles vécus par le reste de la société. L’alternance entre la joie et la tristesse sont les caractéristiques du bipolaire.  Ces traits de personnalité sont senti comme un handicape pour le bipolaire dans ça relation avec la société, ce qui le pousse à s’isoler et a renforcer le soi-estime de soi qui peut être fatale pour lui. Malgré que c’est la société qui la rejeter, le bipolaire se sent victime de sa maladie, et ne cesse de souffrir et se culpabilisé.   Le paradoxe, c’est que le bipolaire est un membre constructeurs de la société, alors comment peut-on rejeter un membre constructeurs juste  parce qu’il est souffrant ? N’est ce pas le rôle de la société pour l’aider et le protéger ? notre société, n’est telle pas malade ?.
Certes, La vie est pleine de joie, mais aussi pleine de tristesse, l’essentielle est de maîtriser l’alternance affective entre la joie et la tristesse. Certaines personnes ont du mal à maitriser cette alternance joie/tristesse, ce qui leurs provoque des problèmes sociaux diverses. Ces problèmes, seront à l’origine de l’aggravation du trouble. Présumé aider et protéger les citoyens, la société moderne ne fait que rejeter toutes personnes qui  ne font pas parti de son prototype.

Donnant par exemple : La société est le corps humain composé de cellules (citoyens), et le noyau de ces cellules est la famille. Le cerveau (gouvernement, président, roi…) dirige notre corps et répond à nos besoins. Si une partie de nous est malade, tous le corps se regroupent pour rétablir le trouble (soit par la fièvre, soit par frisson…). Ce qui est a retenir, c’est que si un membre de la société est malade, toute la société doit être déployé pou le faire sortir de sa souffrance, parce que c’est une partie d’eux qui est toucher. Mais la question qui se pose, est ce que notre corps sent notre souffrance ? Est ce qu’il est prés pour nous aider ?
Notre société moderne, est devenue le véritable poison pou l’humanité. Nous vivons dans un monde matériel, plein de typologie, un monde préjudice et raciste qui juge les gens d’après leurs apparences. Malgré Le progrès scientifique, et malgré la modernisation sociale qui nous est imposé, la société moderne a perdu le sens de l’humanisation des relations entre citoyens eux même, et leurs relations avec l’humanité.
Dans un monde capitaliste, le dollar a changé notre perception sur les relations humaines, et l’Homme est devenu juste un utile  pour la réalisation de nos rêves, ou plutôt la réalisation du rêve américain importer depuis les Etats Unis d’Amérique. Un rêve fait sur mesure pour satisfaire l’opportunisme humanitaire dans le but de déraciner la race humaine des principes fondateurs de la société comme étant un groupement de personne solidaire, quelque soit le lien qui les relies religieux ou géographique ou ethnique…et aussi pour anéantir les relations humaines dans une société.

L’émergence de la société moderne, qui est la société de consommations, est basée sur la théorie du capitalisme qui rend  les relations sociales basées sur le  matériel, entre les membres de la société eux-mêmes et en vers d’autres sociétés. Le narcissisme humain s’alimente bien par les poisons qu’on ne cesse d’avoir, soit par film, soit par publicité, on a tous notre dose de poison, ce qui se reflète sur la personnalité qui devient une personnalité narcissique avec de nouveaux principes sociaux basées sur l’opportunisme et le narcissisme. Des principes de typologies, et toute divergence au prototype est considéré comme étranger pour la société. Une exclusion inconsciente, et raciste d’une parti du groupe, ce qui retentira négativement, sur l’ensemble de la société et non pas sur les exclus seulement.
Notre société moderne ne fait qu’augmenter les statistiques concernant la maladie mentale. Du bipolaire, à la schizophrénie en passant par l’anorexie mentale et l’anxiété avec ou sans attaque de panique, sont les conséquences directes de la société de consommations. Malgré que certains troubles existent depuis des décennies, d’autres ont été alimentés par notre société.

Le poison de la société moderne à anéanti le rôle de la famille, qui reste le noyau de la société. Le système capitaliste, qui a emprisonné les parents dans les bureaux et les usines. Etant  une nouvelle version de l’esclavagisme, le capitalisme avait besoin de détruire les relations familiales et en détruisant avec, tous les principes de solidarité et d’aide réciproque. La destruction des principes sociales et culturelles d’un groupe ont pour conséquence la perte de l’identité sociale de l’individu, ce qui peut être l’origine d’une dépersonnalisation de l’Homme.

Notre société devient de plus en plus malade, mais le problème c’est qu’on ne fait pas attention à plusieurs signaux d’alarmes qui ne cesse de sonné leur cloche pour un rétablissement et réorganisation de la société et la réinsertion des principes fondateurs de la société. Notre société ne se rend pas compte de la gravité de la situation et n’est pas protéger contre tout collapsus social qui peut être dangereux et fatal.

Sachant bien que toute affection mentale surgit de nulle part, et n’a pas de cause bien précise et quelle touche toutes les classes sociales, tout membre de la société est potentiellement susceptible de développer une maladie mentale. Ce fait, doit être la base de l’éducation de la société pour renforcer la solidarité sociale avec les personnes souffrantes de malades mentales, ce qui favorise la prise en charge et la réinsertion sociale de ses personnes.
Le renforcement du rôle de la famille va être l’arme principale contre la marginalité que subit tout patient. Un rôle qui est essentielle dans le processus de réhabilitation de nos sociétés qui va être basé sur les principes du  respect, de la solidarité et l’acceptation de l’autre malgré sa différence.
Le retour à ces principes, n’est pas un  retour vers  l’âge de pierre ou le moyen âge, mais le retour vers nos principes culturelles qui représentent notre identité et les adapter à notre mode de vie.
Nous sommes la solution de nos problèmes, et nous sommes aussi la cause, juste un moment de réflexion rationnelle peut guider l’humanité vers un avenir plus meilleurs que le présent amer.

la prise en charge de la schizophrénie, réinsertion professionnelle défaillante

La schizophrénie, une maladie qui apparait le plus souvent à l’adolescence, est considérée comme une maladie complexe et difficile à diagnostiquer. Malgré l’évolution des modalités de prise en charge de cette maladie, et les antipsychotiques de nouvelles générations qui sont apparut surtout dans les dernières décennies (maintenant que 15 à 20 % des patients atteints de schizophrénie débutante voient leur maladie évoluer favorablement), la prise en charge des patients schizophrène est encore incomplète et fait face à des problèmes d’adaptations du patient au milieu sociale.
Les stratégies actuelles de prise en charge s'appuient sur une approche tridimensionnelle du patient (biologique, psychologique et sociale). Le système de santé français a développé un réseau de soins psychiatriques gratuits de service public sur tout le territoire, avec rattachement de chaque commune à un service d’hospitalisation psychiatrique possédant également un centre de consultation et une structure d’accueil de jour. Le « secteur psychiatrique » pouvant assurer une continuité de soins, il est le lieu privilégié du traitement par la psychothérapie institutionnelle qui est une des méthodes les plus efficaces pour soigner les malades souffrant de schizophrénie. Ils peuvent y recevoir leur traitement, rencontrer des infirmières, consulter leur médecin, et bénéficier si nécessaire des structures d’accueil de jour du « secteur » favorisant la réinsertion, ainsi que d’un accompagnement par les assistantes sociales spécialisées.
Mais l’adaptation thérapeutique doit prendre en considération la personne elle-même, le mode de vie, les symptômes prédominants et le facteur environnemental du patient. Ce dernier n’a pas beaucoup de place dans les stratégies de prise en charge. Parmi les défis de la prise en charge, c’est diminué le cas de rechute des patients et l’arrêt de traitement, les effets indésirables des médicaments peuvent être une cause essentielle. Ainsi la psychoéducation s’avère nécessaire dans ce cas et elle vise à : • la maladie et les symptômes, • l'évolution des thérapeutiques pharmacologiques et leurs effets secondaires, • les autres interventions, • la stratégie de prévention des rechutes, • les risques liés à l'usage du cannabis et autres substances psycho actives. Le volet psychothérapique consiste à : • restaurer les capacités de fonctionnement mental, • rétablir le contact avec la réalité. Il favorise les processus de pensée et d'expression verbale des émotions en réduisant les réactions de rupture. La thérapie de soutien permet au patient d’avoir avec son psychiatre traitant, ou un thérapeute travaillant en lien avec ce dernier, des échanges sur son quotidien, sa maladie et ses conséquences, afin de mieux cerner les difficultés et trouver des solutions. D’autres interventions psychothérapiques peuvent être envisagé, telles que : • psychothérapie psychanalytique ; • interventions familiales ; • interventions médico-pédagogiques. La schizophrénie est une pathologie psychiatrique qui peut prendre des formes très variées (on parle des schizophrénies). Elle peut avoir un impact important sur l'adaptation sociale et entraîner une grande souffrance chez la personne et ses proches.
L’insertion sociale est un élément indispensable dans la prise en charge d’un schizophrène, pour maintenir ou rétablir l’autonomie et améliorer la qualité de vie. La réinsertion socioprofessionnelle joue un rôle très importants dans l’augmentation de la estime de soi que ressent le patient après avoir eu un travail qui lui convient et aussi parce qu’il se sente utile dans la société. Cependant, la réinsertion professionnelle du patient n’est pas adéquate ou bien totalement absente, de nombreux employeurs refusent d’embaucher des patients suivis pour schizophrénie, sous prétexte d’invalidité professionnelle, ou bien par peur du patient lui même due à l’ignorance de la maladie mentale par certaines personnes.

enfant et obésité

Chez l’enfant, le surpoids et l’obésité correspondent à un excès de graisse dans le corps. Ils sont particulièrement dus à une alimentation surabondamment riche et une activité physique faible. Dans certains cas, ils peuvent s’expliquer par des prédispositions familiales.

Comme chez l'adulte, le surpoids de l'enfant est indiqué comme un surplus de masse grasse corporelle. Il entraîne des effets défavorables sur la santé. La masse grasse correspond à l'ensemble de la graisse du corps (ou tissu adipeux). On l'oppose à la masse maigre qui correspond au poids des muscles, des organes et des viscères.

Les enfants de maternelle ou de première année qui passent uniquement une heure par jour devant la télévision sont plus susceptibles d'avoir des problèmes de poids que ceux qui y consacrent moins de 60 minutes, démontre une étude américaine.
Les chercheurs ont mesuré la taille et le poids de plus de 10 000 enfants, en plus de interroger leurs parents sur leurs habitudes de télévision. Ils ont refait le même exercice un an plus tard.
Leurs résultats révèlent que les enfants américains qui commercent la maternelle regardent, en moyenne, 3,3 heures de télévision par jour. Les enfants de maternelle et de première année qui regardaient entre une et deux heures de télévision par jour avaient un indice de masse corporelle distinctement plus élevé que ceux qui n'en voyaient que moins de 60 minutes, même en tenant compte de facteurs comme le statut socioéconomique et l'ethnicité.

Les enfants qui regardaient la télévision une heure par jour augmentaient de 50 à 60 % leur risque d'embonpoint et de 58 à 73 % leur risque d'obésité, comparativement à ceux qui la regardent moins d'une heure par jour.
De plus, les enfants qui regardaient plus d'une heure de télévision par jour étaient 39 pour cent plus susceptibles d’entamer à souffrir d'embonpoint et 86 pour cent plus susceptibles de commencer à souffrir d'obésité entre la maternelle et la première année.

L'Académie américaine de pédiatrie tolère tout au plus deux heures par jour passées devant un écran pour les enfants et les adolescents. Elle prévient toutefois que même cette limite est peut-être trop élevée.
L'étude a été présentée en fin de semaine au congrès annuel de l'Académie américaine de pédiatrie, à San Diego